Tout savoir sur le Trading

Le Trading consiste à acheter et vendre des produits financiers. Découvrez le Trading en ligne à votre rythme grâce à cette formation gratuite spéciale Traders débutants.

Avertissement

Le Trading ne convient qu’à une clientèle avisée capable de comprendre le fonctionnement de produits financiers complexes (Futures, Options, CFD…) et de supporter des risques élevés (voire des pertes supérieures aux dépôts). Les contenus NewTrading ne relèvent ni du conseil en investissement ni de l’incitation à négocier des instruments financiers.

Qu’est-ce que le Trading ?

Une définition précise et complète du Trading

Le Trading consiste à acheter et vendre des produits financiers.

En anglais, le Trading désigne le commerce de produits et de services au sens large, mais en français, ce terme désigne plus particulièrement le négoce de produits financiers. Faire du Trading, c’est donc acheter et vendre des produits sur les marchés financiers.

Les opérations d’achat et de vente de produits financiers sont qualifiées de trades (transactions), et la personne qui réalise ces opérations est qualifiée de Trader (opérateur de marché).

Les Traders professionnels

Dans l’imaginaire collectif, le Trader professionnel est forcément un spéculateur, occupé à faire des paris sur l’évolution des prix dans le but de gagner de l’argent. Pourtant, tous les Traders professionnels ne sont pas des spéculateurs.

Dans le monde du Trading professionnel, il convient ainsi de distinguer :

  • Le Trading pour compte propre, où le Trader pour compte propre effectue des opérations spéculatives, c’est-à-dire des paris sur l’évolution des prix des marchés financiers dans l’espoir de parvenir à « battre le marché » pour réaliser des plus-values.
  • Le Trading de flux, où le Trader de flux agit comme simple intermédiaire entre le marché et ses clients afin de leur proposer le meilleur prix possible tout en prélevant une petite commission sur les opérations que lui confient ses clients.

Les Traders indépendants

Le Trading spéculatif pratiqué par les Traders indépendants consiste à faire des paris sur l’évolution des prix des produits financiers dans le but de gagner de l’argent.

Il s’agit par exemple de miser sur la hausse ou la baisse d’un indice boursier ou d’une paire de devises afin de profiter d’un mouvement de prix pour gagner de l’argent à court terme si le pari s’avère correct.

Les bonnes et mauvaises raisons de faire du Trading

Faire du Trading n’est pas synonyme de richesse facile, bien au contraire… D’après l’Autorité des marchés financiers, près de 9 Traders indépendants sur 10 perdent de l’argent dans le Trading !

Parce que les Traders professionnels sont généralement très bien payés au sein des institutions pour lesquelles ils travaillent, nous imaginons à tort qu’un Trader indépendant gagne lui aussi beaucoup d’argent.

Mais les Traders institutionnels sont bien payés parce qu’ils disposent de compétences techniques rares que leurs employeurs rentabilisent sur des flux financiers cumulés de plusieurs milliards. Or, un indépendant ne dispose pas des fonds suffisants pour traiter de tels volumes et rentabiliser ses compétences (aussi rares soient-elles)…

Attention, cela ne veut pas forcément dire que vous ne gagnerez pas d’argent grâce au Trading. Votre talent (ou votre chance) pourra effectivement vous faire entrer dans le cercle fermé des Traders rentables, mais vous voilà prévenu : il vous faudra défier les probabilités !

Les « vraies » bonnes raisons de faire du Trading :

  • Développer vos connaissances financières (hard skills)
    Comprendre le fonctionnement des marchés financiers par la pratique, a fortiori si vous envisagez une carrière en finance, permet de combler le gap entre la théorie académique et la réalité du terrain.
  • Travailler vos compétences extra-financières (soft skills)
  • Au-delà des compétences purement financières, le Trading permet d’acquérir ou de renforcer tout un panel de compétences utiles au jour le jour : habileté stratégique, sens de la discipline, maîtrise émotionnelle, esprit critique…
  • S’amuser, tout simplement
    Si le Trading n’est pas votre métier et si votre santé financière n’est pas en jeu (elle ne devrait jamais l’être), le Trading devient un loisir à part entière. Rien de mal à faire du Trading comme on joue au Poker ou comme l’on fait des paris sportifs entre amis !

Ne vous lancez pas à corps perdu dans le Trading pour « devenir riche » ni même pour « compléter vos revenus », faites-le avant tout par plaisir. Et s’il s’avère que vous parvenez également à gagner de l’argent grâce au Trading, tant mieux.

Le seul véritable objectif du Trader

Si les motivations qui peuvent vous pousser à faire du Trading sont multiples, le but du jeu quant à lui est unique et commun à tous les Traders indépendants : battre le marché.

Mais attention, « battre le marché » ne veut pas dire gagner de l’argent sur une opération, ni même obtenir une performance supérieure à celle du marché. Cette notion est un peu plus subtile.

Prenons un exemple.

Admettons que l’indice boursier Dow Jones gagne +2% au cours d’une journée. Si vous avez misé sur sa hausse et obtenu dans le même temps une performance de +1% seulement, vous n’avez pas battu le marché. Vous avez sous-performé.

Admettons maintenant que sur la même séance, vous ayez réalisé une performance de +10%, soit 5 fois plus que la performance de l’indice boursier. Avez-vous battu le marché ? 

Pas forcément… Tout dépend du risque pris pour obtenir cette performance ! 

Si vous avez pris 10 fois plus de risque que le marché pour une performance à peine 5 fois supérieure, vous n’avez toujours pas battu le marché.

Battre le marché, c’est parvenir à obtenir une performance par unité de risque supérieure à celle du produit financier négocié.

La question à vous poser pour savoir si vous avez battu le marché n’est donc pas :
« Ai-je gagné de l’argent ? » mais plutôt : «Si j’avais pris un risque équivalent à celui du marché, aurais-je obtenu une meilleure performance que lui ? »

Enfin, parvenir à battre le marché sur une séance ne suffira pas à faire de vous un bon Trader. Après tout, il s’agit peut-être d’un coup de chance…

Pour que votre performance soit digne d’intérêt, il vous faudra battre le marché de façon significative avec régularité et dans la durée pour limiter l’impact du facteur « chance ». Et autant vous prévenir, cela n’est pas chose aisée.

Le Trading s’apparente à un jeu à somme nulle où les gains des uns sont les pertes des autres. Pour réussir, vos paris devront donc se distinguer du marché et s’avérer significativement plus précis que ceux de la concurrence afin d’arracher des plus-values suffisamment élevées pour couvrir vos frais de courtage. 

À vous de jouer !

Choisir la meilleure stratégie de Trading

Les 3 dimensions d’une stratégie de Trading

Au risque de vous décevoir, il n’existe pas de « stratégie de Trading miracle », ni même de « stratégie de Trading gagnante clé-en-main »… Pourquoi ? Tout simplement parce que l’exploitation d’une telle stratégie la rendrait aussitôt inefficace.

Pour s’en convaincre, il suffit de se représenter les marchés financiers comme une forêt vierge parsemée de plusieurs gisements d’or (les anomalies de marché) et sillonnée chaque jour par une armada d’aventuriers cupides (les Traders).

Lorsqu’un aventurier suffisamment talentueux (ou chanceux) tombe sur un gisement, celui-ci ne livre jamais l’emplacement du filon à ses concurrents. Il s’efforce tout au contraire d’exploiter la source jusqu’à la tarir !

Il en est de même sur les marchés financiers. 

Tout comme notre aventurier refusera systématiquement de partager l’emplacement d’un gisement actif, un Trader ne partagera pas une stratégie de Trading gagnante ; il l’exploitera.

Et pour cause, partager l’emplacement d’une telle manne financière ferait affluer la concurrence, diminuerait sa part du gâteau et ne ferait que précipiter la fin du gisement…

Mais s’il n’existe pas par définition de stratégie de Trading gagnante pérenne et prête à l’emploi, il existe des conditions pour définir une stratégie de Trading complète.

Toute stratégie de Trading se définit selon trois dimensions : 

  • le style de Trading ;
  • le mode de pilotage ;
  • le plan de Trading.

Dimension 1/3 | Le style de Trading :

  • Le Scalping, où le Trader Scalpeur effectue des allers-retours très rapides et ne reste en position que de quelques secondes à quelques minutes ;
  • Le Day Trading, où le Day Trader effectue des allers-retours au sein d’une même journée et reste en position de quelques minutes à quelques heures ;
  • Le Swing Trading, où le Swing Trader effectue des allers-retours plus espacés et reste en position de quelques heures à quelques semaines ;
  • Le Position Trading, où le Position Trader effectue des allers-retours à plus long terme et reste en position de quelques semaines à quelques mois.

Dimension 2/3 | Le mode de pilotage :

  • le Trading manuel (sans recours aux algorithmes) ;
  • le Trading automatique (totalement algorithmique) ;
  • le Trading semi-automatique (mi-manuel, mi-automatique).
Bon à savoir

Attention cependant, le Trading automatique ne doit pas être confondu avec le Trading haute fréquence ! Le Trading Haute Fréquence essentiellement articulé autour de stratégies d’arbitrage n’est qu’une des possibilités offertes par le Trading automatique, d’autres alternatives telles que les Experts advisors et algorithmes de Trading indépendants sont également envisageables.

Dimension 3/3 | Le plan de Trading fondé sur une ou plusieurs méthodes : 

Voilà, il ne vous reste plus qu’à composer la stratégie de Trading la plus adaptée à votre profil et à vos objectifs !

3 questions clés pour bien choisir votre stratégie de Trading personnelle

Malgré l’émergence de nouvelles tendances telles que le Trading social (ou copy Trading), la construction d’une stratégie de Trading reste éminemment personnelle. Voici 3 questions pour vous guider dans votre démarche.

#1 Combien de temps pouvez-vous consacrer au Trading ?

Si vous êtes en mesure de passer de longues heures derrière votre écran, le scalping et le day Trading pourraient bien répondre à vos attentes. 

En revanche, si vous n’êtes pas aussi disponible, mieux vaudra sans doute allonger votre horizon de Trading et privilégier le Swing Trading, voire le Position Trading.

#2 Avez-vous tendance à préférer les sciences économiques, les mathématiques, ou la psychologie ?

Si vous penchez pour l’Économie, privilégiez une stratégie centrée sur l’analyse fondamentale afin de suivre et d’étudier avec assiduité le contexte macro-économique tout comme la santé financière des entreprises.

Si vous penchez pour les mathématiques, privilégiez une stratégie centrée sur l’analyse technique afin de suivre et d’étudier les statistiques des indicateurs techniques (et de travailler à leur optimisation).

Si vous penchez pour la psychologie, privilégiez une stratégie centrée sur l’analyse comportementale afin de suivre et d’étudier les biais cognitifs et émotionnels des acteurs du marché.

Bon à savoir

Dans la pratique, les trois méthodes d’analyse ne sont pas aussi segmentées et les Traders apprécient bien évidemment de combiner plusieurs approches !

#3 Êtes-vous de nature impulsive ?

Si oui, alors mieux vaut opter pour une approche semi-automatisée (voire totalement automatisée) afin de confier aux algorithmes tout ou partie de vos prises de décisions et opérations.

Si vous disposez en revanche d’un bon niveau d’auto-discipline, le Trading manuel s’avère plus souple et plus divertissant (quitte à confier la gestion de vos positions ouvertes aux algorithmes afin de limiter la charge mentale liée à la gestion des opérations en cours).

Un modèle du système de Trading idéal (à compléter)

Une fois votre stratégie de Trading sélectionnée, il est conseillé de définir clairement vos règles de Trading pour constituer votre propre système de Trading.

Un système de Trading idéal doit comporter un certain nombre d’informations essentielles, voici un modèle à compléter pour construire votre premier système de Trading.

Exemple de système de Trading complet :

  • Produits financiers négociés
    Quels actifs et produits financiers vous autorisez-vous à négocier ?
  • Plages de Trading (heures, journées…)
  • Quand vous autorisez-vous à faire du Trading ?
  • Conditions d’entrée (signaux, taille de position, risque…)
    Sous quelles conditions vous autorisez-vous à entrer en position ?
  • Conditions de sortie (signaux)
  • Sous quelles conditions vous engagez-vous à sortir de position ?

L’objectif d’un système de Trading consiste comme son nom l’indique à systématiser autant que possible vos prises de décision afin de limiter leur caractère impulsif ; ce travail préliminaire vous permettra d’être davantage dans la réflexion que dans la réaction au cours de vos séances de Trading.

Maîtriser les produits financiers négociables

Les 5 grandes classes d’actifs et leurs spécificités

Les actions

Une action est un titre de propriété correspondant à une fraction du capital d’une entreprise. Il s’agit en quelque sorte d’un « petit bout d’entreprise ».

La détention d’une action donne le droit de percevoir les éventuels dividendes versés par l’entreprise, ainsi qu’un droit d’information et de vote lors des assemblées générales de l’entreprise.

Les actions sont regroupées au sein d’indices boursiers nationaux (CAC 40 en France, DAX 40 en Allemagne, Nikkei 225 au Japon…) ou sectoriels (santé, télécommunications, transport…).

Le Trading sur actions peut s’avérer particulièrement risqué en raison du risque spécifique propre à chaque entreprise. En effet, une entreprise peut très bien être rachetée du jour au lendemain et voir son cours de bourse doubler, mais elle peut aussi être placée en liquidation judiciaire et voir son cours tomber à zéro.

De façon générale, les Traders préfèrent habituellement trader les indices boursiers afin d’éviter les risques spécifiques propres aux actions pour se concentrer sur la gestion du risque de marché dans son ensemble.

Les obligations

Une obligation est un titre de propriété correspondant à une fraction de la dette de l’entreprise. La détention d’une obligation donne le droit de percevoir des intérêts versés sous la forme de « coupons », ainsi qu’un remboursement à terme de la dette.

En raison de l’importance des capitaux nécessaires et des frais de courtage relativement élevés, le Trading sur obligations n’est que très peu pratiqué par les Traders particuliers.

Les devises

Marché le plus emblématique du Trading, le marché des monnaies (FOREX) se présente sous la forme de taux de change, la valeur d’une devise étant exprimée par rapport à la valeur d’une autre devise.

En moyenne moins volatile que le marché des actions, le marché du FOREX n’en demeure pas moins particulièrement risqué, principalement en raison des violents décalages de cours susceptibles d’avoir lieu lors des discours et décisions des banques centrales.

Qui plus est, pour Trader le Forex et parvenir à exploiter les variations parfois minimes du marché des changes, il est possible d’investir à crédit grâce à l’effet de levier pour démultiplier les gains ou les pertes lors des fluctuations de la devise.

Bon à savoir

A titre d’exemple, une variation relativement faible de l’ordre de 1%, peut alors vous faire perdre la totalité de votre capital si vous utilisez un effet de levier de 100 !

Les matières premières

Qu’il s’agisse des matières premières énergétiques (pétrole, gaz naturel…), de matières premières agricoles (blé, soja, maïs…) ou de matières premières minérales (or, argent, palladium…), le marché des matières premières possède l’avantage d’être particulièrement tangible et concret.

Il n’en demeure pas moins volatile et d’un fonctionnement complexe !

Certains paramètres tels que les frais de stockage ou de transport des matières premières peuvent en effet avoir un impact sur les prix des produits financiers dérivés associés.

À titre d’exemple, c’est ainsi que le prix du contrat à terme du pétrole a pu passer en territoire négatif pendant quelque temps en 2020.

Les cryptomonnaies et actifs numériques (NFT)

Très en vogue, le marché des cryptomonnaies et des actifs numériques tels que les NFT est très certainement l’un des marchés les plus spéculatifs et volatiles du moment. Les opportunités de gains faramineux y sont légion, tout autant que les risques de ruine totale.

Les frais de courtage y demeurent relativement élevés mais peuvent être compensés par la grande volatilité des actifs financiers. En raison du caractère très spéculatif du Trading sur cryptomonnaies, il est néanmoins conseillé d’éviter le recours à l’effet de levier et de n’y investir qu’une petite fraction de son capital (tout en ayant conscience des risques de perte totale).

Il n’existe pas de classe d’actif supérieure à une autre pour tenter de battre le marché. Certaines classes d’actifs telles que les cryptomonnaies peuvent être plus « fun » à trader en raison de la hype qui les entourent, mais le plus important reste comme toujours de vous assurer de bien comprendre le marché sur lequel vous investissez.

Une cartographie complète des produits financiers négociés par les Traders

Chacune des 5 grandes classes d’actif peut être négociée au travers de différents produits financiers, en voici les principaux.

Les titres financiers

Un titre financier est un titre de propriété d’un actif. Les actions et les obligations font partie de cette famille au sens où elles permettent à leurs détenteurs d’être propriétaire d’une part du capital ou d’une part de la dette d’une entreprise.

Les produits financiers dérivés

Un produit dérivé est un produit financier dont le rendement est directement lié au rendement d’un deuxième actif appelé actif sous-jacent.

Cet actif sous-jacent dont le produit dérivé « dérive » sa valeur peut être une action, une matière première, une devise ou encore un indice boursier.

D’un point de vue technique, la valeur d’un produit dérivé est donc le résultat d’une relation mathématique dont la variable est le rendement de l’actif sous-jacent.

Un produit financier dérivé peut par exemple répliquer les performances d’un indice boursier (actif sous-jacent) en les multipliant par 2. 

Ainsi, si l’indice boursier gagne +1%, le produit dérivé affichera une performance de +2%, et inversement, si l’indice boursier perd -1% alors le produit dérivé affichera une performance de -2%.

Les produits financiers structurés

Un produit financier structuré est un assemblage de produits financiers, regroupés au sein d’un produit unique. Contrairement au produit dérivé, le produit structuré ne dépend donc pas d’un actif financier, mais de plusieurs.

La réunion de différents produits financiers au sein du produit structuré offre à l’investisseur un produit sur mesure afin de lui permettre de miser sur un scénario de marché précis, à moindre frais et avec une exposition au risque optimisée. 

Ces produits structurés se composent généralement de deux éléments : 

  • le premier assure la protection du capital investi ;
  • le second (plus risqué) optimise le rendement du produit.

Une sélection des produits « vanille » à privilégier

Sur les marchés financiers, les Traders distinguent les produits simples, qualifiés de produits « vanille », des produits plus complexes, qualifiés de produits « exotiques ». Voici quelques exemples de produits « vanille » parmi les plus négociés par les particuliers.

Les ETF

Les Exchange Traded Funds (ETF) ou fonds indiciels, sont des produits financiers répliquant les variations d’un actif sous-jacent (action, indice, matière première…) à la hausse comme à la baisse.

Les CFD

Le CFD ou contrat pour la différence est un accord entre le Trader et son intermédiaire financier pour échanger la valeur correspondant à la différence entre le point d’entrée et le point de sortie du Trader.

Les futures

Le Future ou contrat à terme est un accord par lequel un acheteur et un vendeur s’engagent à échanger un actif dans le futur à un prix établi dans un contrat. Le Future peut néanmoins être revendu avant arrivée à échéance. Le Trading sur CFD est à ce jour le plus utilisé par les particuliers, notamment parce qu’il offre davantage de flexibilité que les Futures et ne nécessite que peu de capital.

Quel que soit le produit financier négocié, assurez-vous de bien comprendre son fonctionnement et les risques auxquels il vous expose. Votre santé financière ne devrait jamais être mise en danger par vos activités de Trading !

Ouvrir le bon compte de Trading

Le mode de gestion à privilégier en fonction de votre profil

Gestion passive VS gestion active

La première distinction consiste à savoir si votre stratégie d’investissement est active, c’est-à-dire si elle cherche à battre le marché ou si elle cherche seulement à en répliquer la performance, auquel cas votre stratégie sera qualifiée de passive.

Gestion indirecte vs gestion directe

La deuxième distinction consiste à savoir si votre stratégie d’investissement est indirecte, c’est-à-dire confiée à un tiers ou si elle reste entre vos mains, auquel cas votre stratégie sera qualifiée de directe.

Pour un Trader indépendant, le mode de gestion est forcément actif (je cherche à battre le marché) et direct (je cherche à le faire moi-même), mais la totalité de son capital ne doit pas forcément être placée sur cette seule case N°2 !

Afin de conserver un équilibre financier sain, mieux vaut en effet diversifier son patrimoine en adoptant différents modes de gestion (Cases N°1, N°3 et N°4), mais également dans d’autres approches (immobilier locatif, private equity, crowdfunding…).

En répartissant vos différents placements sur ce cadran « PAID » (Passif – Actif – Indirect – Direct), vous leur attribuerez un mode de gestion clair et définitif ; de quoi éviter bien des erreurs !

La bonne santé financière est une question d’équilibre. Le « frisson » du Trading (aussi tentant soit-il) ne doit surtout pas compromettre votre avenir financier. Ce cadran PAID réduira le risque de voir dériver tous vos placements passifs vers de la gestion active.

Un comparatif détaillé des enveloppes fiscales

La fiscalité du Trading peut avoir un impact considérable sur votre performance.

Comme plusieurs enveloppes fiscales sont à votre disposition pour négocier des instruments financiers, il est important de connaître les spécificités de chacune d’entre elles.

Le compte de Trading 

Le compte de Trading classique n’offre pas d’avantage fiscal particulier, il permet néanmoins d’accéder à une très large gamme d’actifs avec une grande souplesse permettant de miser tant sur la hausse que sur la baisse des prix.

Par défaut, vos plus-values mobilières sont soumises à la Flat Tax, aussi appelée Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU) de 30%. 

En fonction de votre profil et de votre tranche marginale d’imposition, opter pour le barème progressif de l’impôt sur le revenu peut néanmoins s’avérer plus attractif.

Le compte-titre, le Plan d’épargne en actions (PEA), l’assurance-vie

Contrairement au compte de Trading, certaines enveloppes fiscales plus adaptées à une logique patrimoniale de l’investisseur de plus long terme peuvent en revanche vous faire bénéficier d’avantages fiscaux spécifiques (notamment l’assurance-vie et le PEA).

Le compte-titre quant à lui peut s’avérer plus adapté à la détention exclusive de titres financiers, afin de constituer par exemple un portefeuille d’actions.

Choisir le bon courtier 

Que vous soyez débutant ou expert, il peut s’avérer particulièrement difficile de comparer les différents brokers tant ils sont nombreux et leurs offres variées… Ce choix revêt pourtant une importance capitale !

Pour faire le bon choix en fonction de votre profil et de vos objectifs, prenez le temps de consulter notre TOP des meilleurs brokers Trading.

Gérer les risques grâce au Money Management

Vos meilleurs alliés sur les marchés financiers

Dans le monde du Trading, les arnaques et fausses promesses sont malheureusement nombreuses. Pour les éviter, vous pouvez néanmoins compter sur le support de quelques alliés, dont voici les principaux.

L’Autorité des marchés financiers (AMF), c’est le gendarme des marchés financiers et elle vous permettra non seulement de vous informer, mais également de vous assister en cas de différends avec un intermédiaire financier.

L’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), c’est l’institution chargée de la surveillance de l’activité des banques et des assurances en France, elle vous permettra de vous assurer que l’intermédiaire financier de votre choix est bien en règle !

Les erreurs de débutant à éviter absolument

#1 Trader au-dessus de ses moyens

Le Trading doit rester un loisir et vous devez donc y prendre du plaisir. Si vos opérations vous inquiètent outre mesure et si vos pertes commencent à mettre votre santé financière en danger, alors il est grand temps de faire marche arrière !

Vos gains et pertes de Trading ne devraient avoir qu’un impact limité sur votre situation émotionnelle, veillez donc à réduire la taille de vos positions si cela est nécessaire.

#2 Ne pas couper ses pertes

Aucun Trader ne saurait avoir 100% de réussite sur les marchés financiers. Tôt ou tard (et généralement plutôt tôt que tard), vous serez confronté à vos premières pertes.

Faites donc attention à ne pas vous laisser emporter par le marché. Aussi invraisemblable que cela puisse vous paraître, la tendance pourrait se poursuivre encore longtemps et vos pertes pourraient se creuser bien davantage.

Le recours à un stop-loss pour couper automatiquement vos pertes en cas de mouvement adverse est donc vivement conseillé en vue de protéger votre capital.

« Le marché peut rester irrationnel plus longtemps que vous ne pouvez rester solvable. »

John Maynard Keynes

#3 Rester en position avec effet de levier overnight

Un ordre stop-loss ne vous protège pas en cas de « gaps ».

Ces sauts de cotation susceptibles de faire décaler violemment les prix au cours d’une séance ou à l’occasion de la réouverture des marchés (suite à une nuit ou à un weekend), peuvent vous causer d’importantes moins-values.

Pire, ils peuvent également faire passer votre capital en territoire négatif et vous endetter si vous avez fait appel à l’effet de levier !

Les 7 risques du Trading (et comment s’en prémunir)

Pour prendre du plaisir dans la durée grâce au Trading, il est essentiel d’avoir conscience des risques auxquels le Trading vous expose.

Le risque de marché

Le risque de marché est sans doute le risque le plus évident. 

Il concerne l’éventualité de perdre une partie du capital investi sur un produit financier, et ce, que la moins-value soit latente ou réalisée (une fois l’actif effectivement revendu à un prix moins attractif que son prix d’achat initial).

Gardez à l’esprit que le prix d’un produit financier peut brusquement tomber à zéro ou connaître une baisse immédiate et soudaine de plusieurs dizaines de pourcents ! 

Le risque de change

Le risque de change apparaît lorsque vous investissez dans un produit financier libellé dans une devise étrangère dont le taux de change face à l’euro fluctue.

Par exemple : Si vous investissez dans l’action de l’entreprise Toyota, cotée au Japon, et dont le prix est libellé en yens japonais, vous serez confronté au risque de change (puisque le taux de change euro-yen évolue en permanence).

Pour connaître la performance en euros de votre investissement réalisé en yens japonais dans l’action Toyota, vous devrez alors considérer les variations du taux de change entre l’euro et le yen japonais.

Ces fluctuations pourront soit augmenter votre performance (si la valeur du yen a augmenté face à l’euro entre l’achat et la revente de vos actions), soit pénaliser votre performance (si la valeur du yen a baissé face à l’euro au cours de votre investissement).

Le risque de contrepartie

Lorsque vous investissez dans des actions ou dans des obligations, vous devenez propriétaire du titre financier en question. Ainsi, vous êtes directement propriétaire d’une petite part d’entreprise ou d’une petite part de dette. 

En revanche, lorsque vous investissez dans un produit dérivé ou dans un produit structuré, vous n’êtes pas propriétaire d’un actif économique ; vous êtes engagé dans un contrat. 

Sur les marchés organisés, la contrepartie du contrat est une chambre de compensation : une institution en capacité de tenir les engagements du contrat en toutes circonstances. 

Mais sur les marchés de gré à gré, la contrepartie du contrat est un autre investisseur !

Par conséquent, vous courrez le risque que celui-ci ne tienne pas tous ses engagements et qu’il ne vous paye pas ou tarde à le faire… C’est précisément ce risque que l’on nomme « risque de contrepartie ».

Le risque d’arnaque

L’achat et la vente de produits financiers génèrent des flux d’argent importants qui, inévitablement, attirent des arnaqueurs en tout genre : vendeurs aux promesses marketing fallacieuses, escrocs avérés dont l’objectif est clairement de vous extorquer de l’argent…

De manière générale, méfiez-vous des offres trop alléchantes ! 

À nouveau, il n’existe pas de « stratégie miracle », ni de « placement garanti hautement rémunérateurs ». Tout rendement supérieur au taux sans risque comporte un risque, et si le rendement proposé est élevé, cela signifie que le niveau de risque est élevé lui aussi.

Enfin, vérifiez toujours l’identité et la réputation du service ou de la personne à qui vous vous apprêtez à faire confiance, et n’hésitez pas à prendre contact directement avec ses clients pour connaître leur point de vue avant de passer à l’action.

Le risque d’exécution

Lorsque vous envoyez des ordres de bourse à un intermédiaire financier, ces demandes d’achat ou de vente peuvent être mal exécutées, voire ne pas être exécutées du tout. 

Ces difficultés techniques surviennent notamment lorsque les marchés sont particulièrement volatils et illiquides (lorsque les mouvements de prix sont violents et que peu d’investisseurs opèrent sur le marché).

En effet, afin que votre ordre de bourse soit exécuté sur le marché, il doit trouver une contrepartie disponible. Par conséquent, si aucune contrepartie n’est disponible au prix auquel vous souhaitez entrer, votre ordre ne sera tout simplement pas exécuté. Et si une contrepartie est disponible, mais pour une quantité inférieure à celle mentionnée dans votre ordre de bourse, votre ordre ne sera exécuté que partiellement…

Ainsi, lorsque vous utilisez un ordre au marché ou un ordre à seuil de déclenchement, vous contrôlez le timing du déclenchement de votre ordre, mais vous ne contrôlez pas le prix auquel celui-ci doit être exécuté. Vous courrez donc le risque que votre ordre de bourse soit exécuté à un prix dégradé par rapport à vos attentes !

Le risque juridique

Acheter ou vendre des produits financiers sur la base d’une information non publique et susceptible d’avoir un impact sur les prix du marché est un délit d’initié passible de fortes amendes, voire de peines de prison.

Par ailleurs, toute tentative de manipulation du marché, que ce soit par un mécanisme technique ou par la diffusion de fausses informations, est également une pratique répréhensible.

Les professionnels sont au fait de ces risques, mais les particuliers peuvent vite tomber dans l’illégalité faute de connaître la loi. Ne vous engagez jamais dans une pratique qui vous semblerait litigieuse vis-à-vis de la réglementation ou déloyale vis-à-vis des autres investisseurs !

Le risque addictif

Enfin, le dernier des 7 risques présentés dans ce module est plus  « taboo », puisqu’il s’agit du risque d’addiction au Trading. 

Le Trading générant des gains et des pertes d’argent, il peut déclencher un phénomène d’addiction, notamment dans le cadre de pratiques spéculatives, où les gains et les pertes génèrent des décharges répétées de dopamine et d’adrénaline à fortes doses.

De nombreux spéculateurs passent leurs journées scotchés derrière leurs écrans, à surveiller leurs graphiques et à jouer en bourse comme s’ils étaient au casino. 

Ils misent des sommes chaque fois plus importantes à la recherche de sensations fortes, et terminent forcément tôt ou tard par enregistrer de fortes pertes financières, mettant en danger leur équilibre financier et social… 

Assurez-vous de rester le maître du jeu en toutes circonstances !

Analyser votre performance comme un PRO

Les indicateurs clés d’une performance saine

Une performance doit toujours être analysée à la lumière du risque pris pour l’obtenir, c’est le fameux couple rendement/risque !

Après tout, parvenir à doubler son capital en jouant à pile ou face n’a rien d’extraordinaire…

Pour mesurer la performance d’un compte de Trading, deux grands indicateurs sont généralement utilisés : le ratio de Sharpe et le Profit Factor.

Le Ratio de Sharpe

Le Ratio de Sharpe permet de mesurer la performance obtenue par unité de risque. 

Il permet ainsi de comparer deux performances obtenues grâce à des niveaux de prise de risque différents en déterminant quel investissement a rapporté le plus haut rendement par unité de risque.

Le Profit Factor

Le Profit Factor consiste à diviser la somme des gains réalisés par la somme des pertes enregistrées. Plus il est élevé, plus le Trader est performant.

La formule de calcul exacte de votre performance nette réelle

Performance brute, performance nette avant impôts, performance nette après impôts… Distinguer précisément les multiples « performances » est essentiel pour ne pas se retrouver tous comptes faits à s’appauvrir alors qu’on pensait gagner de l’argent.

Performance nominale et performance réelle

La performance nominale est, tout simplement, la performance obtenue sur votre capital. 

Ainsi, si vous aviez de base un capital de 100€ et que vous disposez désormais d’un capital de 102€, vous avez réalisé une performance nominale de +2%.

Toutefois, cette performance correspond à une variation de votre capital et non à une variation de votre pouvoir d’achat. En effet, elle ne tient pas compte du phénomène d’inflation (c’est-à-dire de la perte de valeur de la monnaie au fil du temps).

Pour interpréter plus justement une performance donnée, il est donc fréquent de corriger la performance nominale de l’inflation afin d’obtenir une performance dite « réelle ».

Pour reprendre notre exemple, si votre capital est passé de 100€ à 102€ et que l’inflation était de 1,5% sur la période considérée, votre performance nominale est bien de 2%. 

Cependant, votre performance réelle est de 2% moins 1,5% d’inflation ! Soit +0,5%… Votre capital a donc bien progressé de +2%, mais le pouvoir d’achat de ce capital n’a quant à lui progressé que de +0,5%.

Bien que la performance nominale soit plus facile à calculer et à manipuler, la performance réelle permet d’avoir une vision plus juste, corrigée de l’inflation.

Performance brute et performance nette 

La performance brute est la performance obtenue sur un placement financier hors frais et hors impôts. 

Seulement voilà, le capital ponctionné par les frais (et celui prélevé par les impôts) sort de votre portefeuille. Vous devez donc en tenir compte lors de l’analyse d’une performance. 

Certaines performances brutes peuvent en effet avoir l’air particulièrement alléchantes, mais ne plus être attractives du tout une fois calculées en net !

La formule à connaître est donc la suivante :

Performance réelle = Performance nominale – inflation – frais de courtage – impôts

L’illusion de la prime de risque

Gagner de l’argent n’est pas forcément « battre le marché ». Comprendre cette distinction est un bon début, mais il convient d’aller un cran plus loin pour bien distinguer deux notions clés en Trading : l’anomalie de marché et la prime de risque.

L’anomalie de marché consiste à exploiter avec succès une situation de marché donnée, qui si elle se reproduisait se traduirait systématiquement par un gain. Elle rémunère la compétence du Trader.

La prime de risque consiste à exploiter avec succès une situation de marché donné, qui si elle se reproduisait ne se traduirait pas systématiquement par un gain. Elle rémunère la chance du Trader.

Bon à savoir

Confondre une prime de risque avec une prime de marché peut coûter cher… De nombreux Traders débutants misent par exemple sur la hausse du cours des actions juste avant la publication de leurs résultats trimestriels lorsque ceux-ci sont attendus dans le vert.

Or, si cette tactique peut rapporter quelques pourcents la majorité du temps (lorsque les résultats sont conformes aux attentes), celle-ci peut aussi coûter quelques dizaines de pourcents au Trader lorsque les résultats ne sont pas à la hauteur !

Ces plus-values post-publication d’entreprise ne sont généralement pas des anomalies de marché, mais le plus souvent de simples primes de risque, c’est-dire la rémunération du risque de voir l’entreprise décrocher faute de bons résultats…


Adopter une conduite responsable

5 principes clés à garder à l’esprit

Pour réussir votre parcours de Trader, et plus généralement votre parcours d’investisseur, il est important de ne jamais oublier quelques principes fondamentaux.

#1 Sachez toujours pourquoi vous achetez ou vendez un produit financier

Faire du Trading sans connaître la raison d’être de vos transactions financières, c’est l’assurance de finir dans le mur. Soyez donc très précis dans la justification de vos trades et dans la définition de vos objectifs.

#2 Veillez à toujours comprendre le fonctionnement des produits financiers négociés

Si vous ne comprenez pas pleinement le fonctionnement d’un produit financier, passez votre tour : ne l’utilisez pas ! Ou bien, prenez le temps de vous former en détail sur son fonctionnement avant de le négocier. Vous limiterez ainsi les erreurs de manipulation souvent à l’origine des pertes financières les plus lourdes.

#3 Distinguez clairement les questions financières et méta-financières

La finance peut répondre à certaines questions, mais elle ne peut pas répondre à toutes les questions. Certaines réponses sont tout simplement des choix de vie.

Il est possible d’apporter des réponses précises aux questions financières que vous vous posez.

Exemple de question financière : « Combien rapporte 2% sur un capital de 1000€ ? »

Mais dans le cas de questions méta-financières, le choix vous revient !

Exemple de question méta-financière : « Combien déposer sur mon compte de Trading ? »

#4 Écoutez les autres, mais pensez par vous-même

Ne vous laissez pas infantiliser. Quel que soit le niveau de votre interlocuteur, considérez que vous disposez d’au moins autant de bon sens que lui et soumettez chacune de ses déclarations à votre sens critique. Cela vaut d’ailleurs pour le contenu de cette formation !

#5 Dans le doute, faites toujours au plus simple

Ne complexifiez pas les choses plus que nécessaire. La stratégie de Trading parfaite n’existe pas et mieux vaut parfois ignorer les détails pour suivre les grandes lignes. 

Rien ne sert de tergiverser pour savoir si votre indicateur technique serait mieux paramétré sur une période de 15 unités de temps plutôt que de 14 ; une telle optimisation n’a aucun sens et elle pourrait même s’avérer contre-productive…

Des ressources sérieuses pour aller plus loin

Plusieurs pistes pour développer vos compétences de Trader :

  • Les formations au Trading. Les meilleures formations Trading vous feront gagner du temps dans votre apprentissage et vous permettront d’acquérir un solide socle de connaissances théoriques.
  • Les livres. Les meilleurs livres Trading permettent de voyager dans la pensée des Traders d’hier et d’aujourd’hui pour découvrir leurs stratégies, profiter de leurs expériences et s’inspirer de leurs histoires.
  • Les films et documentaires. Qu’ils soient pure science-fiction ou inspirés de faits bien réels, les meilleurs films Trading permettent de renforcer votre culture financière et peuvent apporter une touche de créativité bienvenue.
  • La presse spécialisée. Suivre l’actualité, décrypter les soubresauts du marché, organiser sa veille informationnelle… La consultation des meilleurs médias financiers devra très vraisemblablement faire partie intégrante de votre quotidien de Trader indépendant.
  • Les réseaux sociaux. LinkedIn, Twitter, Instagram… Les plateformes sociales sont une excellente façon de prendre le pouls du marché et d’échanger avec d’autres Traders pour ne pas rester seul face à vos graphiques boursiers.
  • Les vidéos YouTube. Les meilleures chaînes YouTube sur le Trading offrent la possibilité de compléter vos connaissances gratuitement, à votre rythme.
  • Les podcasts. Bloqué dans les transports ou sur votre tapis de course, pourquoi ne pas mettre à profit ce moment pour écouter quelques-uns des meilleurs Podcasts Trading ?
  • Les newsletters. Généralistes ou spécialisées sur des niches très précises, les meilleures newsletters Trading permettent de recevoir une information qualifiée directement dans votre boîte mail.

Un dernier conseil pour la route

Cette formation synthétise l’ensemble des informations nécessaires pour découvrir le Trading sérieusement et commencer à Trader à votre rythme, mais ces informations ne sont qu’un aperçu de tout ce que vous pouvez apprendre au sujet des marchés financiers.

Votre pratique du Trading est un formidable laboratoire pour développer vos compétences financières et extra-financières. Soyez curieux et continuez à vous former !

author

Maxime PARRA

Rédacteur en chef de NewTrading.fr et auteur de Trading : Les Règles du Jeu, Maxime est diplômé du Master Grande École de SKEMA Business School et d’un Master en Analyse financière internationale de la Faculté de finance, banque et comptabilité de Lille.